Macron et consorts ont décidé, en cette rentrée, d’enfourcher l’un des chevaux de bataille favoris de l’extrême droite et de la droite extrême : les questions migratoires (voir page 2). L’occasion de revenir, dans ce dossier, sur la nécessaire fermeté dont nous devons faire preuve face à la diffusion des idées racistes et anti-migrantEs, et aux politiques qui les accompagnent. Ce dossier est composé d’extraits de la brochure « De l’air, ouvrez les frontières ! », disponible auprès des militantEs du NPA.
Refuser les frontières, donner un avenir à l’humanité
Si nous avons épuisé nos mots pour dire la tragédie humaine que constitue le sort réservé aux migrantEs, avec notamment les milliers de mortEs en Méditerranée, il faut pourtant écrire et parler pour dire qu’il n’y a rien de fatal.
Un racisme d’État qui vient de loin
Le racisme n’est pas qu’une affaire d’attitudes individuelles d’hostilité envers les étrangers, immigrés, ou supposés tels.
« Pas de pauvreté, pas de migration » ?
Le Conseil de l’Europe déclarait en juin 2015 : « L’immigration clandestine peut être prévenue par l’aide au développement ».
Racisme et violences policières
Les quartiers populaires sont un terrain d’expérimentation quotidienne de la violence d’État. C’est une violence ciblée, dans des quartiers situés loin des centres urbains ou menacés de disparition au cœur des villes, comme à Marseille.
Des revendications émanant des mouvements de résistance soutenues par le NPA
▸ Des moyens pour un accueil digne et non pour la répression ;
▸ La régularisation de toutes et tous les sans-papiers ;
▸ La fin des expulsions ;
▸ La fermeture des centres de rétention administrative (CRA) ;