Pendant ce temps-là, la Palestine doit faire face à deux ennemis :
l’occupation et la pandémie.
Le régime d’apartheid israélien a trouvé avec ce virus un allié de choc, permettant un déplacement policier et militaire accru afin de poursuivre et d’accélérer la colonisation.
destruction de maisons dans le village de Kafr Qassim
confiscation de terres, destruction de récoltes dans les communautés bédouines
raid dans un quartier de Jérusalem Est
bouclage de Bethleem infectée
travailleurs palestiniens malades jetés comme des chiens de l’autre côté du check point
prisonniers malades. Aucune réponse du gouvernement aux demandes de libération des 5000 prisonniers palestiniens dont 180 enfants
blocus de Gaza toujours en vigueur. Coupures d’électricité. Rétentions de matériel médical par la puissance occupante. 55 lits de soins intensifs pour 2 millions d’habitant-es
Gaza, centre de rétention à ciel ouvert, sans moyen d’isolement, attend la catastrophe.
Elle sera le tombeau des Gazaoui-es assassiné-es par l’état sioniste et la communauté internationale peu soucieuse de faire respecter par Israël les nombreuses résolutions de l’ONU auxquelles son statut de puissance occupante l’engage.
PALESTINIEN-NES, NOUS SOMMES AVEC VOUS !
LIBÉRATION DES PRISONNIÈRES ET PRISONNIERS !
LEVÉE IMMÉDIATE DU BLOCUS DE GAZA !
AMPLIFIONS LE BOYCOTT !
Quelques articles :
* Covid-19 dans Gaza confiné : le terrible cri d’alarme d’une montpelliéraine en lien avec des habitant·e·s (lepoing.net)
* Israël profite de la pandémie pour étendre son emprise sur les terres palestiniennes (chroniquepalestine.com)
* Commémorer le Jour de la Terre sous blocus (chroniquepalestine.com)
* L’apartheid israélien, le COVID-19 et les prisonniers palestiniens (chroniquepalestine.com)
* Dès qu’un travailleur est malade, ils le jettent à un checkpoint comme un chien (Agence media Palestine)
* Le coronavirus est un rappel pressant que le siège de Gaza est une sentence de mort (Agence media Palestine)
* Pétition « Israël doit libérer tous les enfants palestiniens détenus » (AFPS)
*Ce n’est pas une manière de traiter un enfant (AFPS)