Avec l’aimable autorisation de l’équipe du « Turbulent » :
« Il y a loin de la coupe aux lèvres », Proverbe aussi célèbre que : « fontaine, je ne boirai pas de ton eau ». Vous allez dire : Les turbulents sont obsédés par l’eau. Bien sûr que non, c’est juste que nous avons du mal à avaler qu’une poignée d’individus, sous prétexte qu’ils sont élus, s’accaparent politiquement d’une richesse naturelle qui nous appartient à tous, l’eau. Grâce à nos diverses publications récentes traitant de ce sujet, vous aurez compris que le Syndicat de l’eau et de l’assainissement, sous la tutelle indue du conseil départemental, a servi à encadrer et museler les maires de l’Ariège qui au-delà de la perte de leurs compétences en la matière, ont aussi vu leur indépendance et leur liberté fondre comme neige au soleil. Par effet de capillarité, c’est l’ensemble de leurs administré(e)s qui sont ainsi brimé(e)
Et comme aurait pu dire Bacchus lorsqu’ il avait un peu trop éclusé, (il était quand même le dieu du vin et de l’ivresse) : « Buvez du vin car même avec madération, vous économiserez l’eau » !
Après les élections municipales qui ont duré un certain temps, les communes et communautés de communes ont désigné leurs délégués auprès des syndicats mixtes et en particulier sur celui de l’eau et de l’assainissement en Ariège. Vous le savez maintenant, une loi de décembre 2019 dite « engagement et proximité », interdit désormais aux conseils départementaux de se mêler de ce qui ne les regarde pas !
Au final, nous assistons tout de même à une tentative désespérée de s’accrocher aux vannes de l’emprise maléfique de quelques-uns sur la multitude.
Bien entendu, les lecteurs et lectrices du Turbulent seront informé(e)s de la suite de cette histoire d’eau.
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