Nous en avions parlé : https://www.npa-ariege.org/spip/spip.php?article4208
Vanessa Mendoza Cortés avait été accusée pour avoir critiqué « l’interdiction totale de l’avortement » dans la principauté.
Bonne nouvelle, le 17 janvier dernier elle a été acquittée !
Mais la bataille continue car l’IVG reste interdit en Andorre, même en cas de viol, d’inceste ou de danger pour la personne enceinte.
Mais que fait le co-prince Macron qui nous la joue « féministe » en faisant entrer la « liberté garantie » pour les femmes d’avoir recours à l’interruption volontaire de grossesse dans la Constitution française ?
Nous savons que « liberté » n’est pas « droit » et surtout que cette liberté sera bien restreinte en raison de l’état de la santé publique dans notre pays...
JCS